Les vaisseaux de cristal
Les vaisseaux de cristal, ou bols de cristal,
sont un produit récent de la technologie occidentale, détourné de leur fonction première : contenir (utilisés surtout en chimie).
Leurs qualités énergétique et sonore sont telles qu’ils ont rejoint allègrement la lignée des bols chantants (Japon, Chine, Tibet…).
Les bols chantants,
autrefois fabriqués en métal, bois ou terre, voient maintenant l’arrivée du cristal, minéral guérisseur par excellence.
Le didgeridoo, instrument sacré, instrument à vent, instrument parmi les premiers conçus par l'humanité.
Le didgeridoo, instrument étrange, s'est vu décliné, en Occident, en version de cristal.
Le didgeridoo de cristal ouvre instantanément la porte d'un univers particulier : c'est le minéral aux mille mémoires, aux mille visages, guérisseur par excellence.
La vibration du cristal touche alors de son empreinte le Temps du Rêve (notre monde pour les Aborigènes).
Le didgeridoo de bois
Le didgeridoo de bois est joué
en Australie du Nord,
en Inde du Nord
en Amérique du Sud
(par exemple, les indiens du Brésil l’appellent xingu, du même nom que le fleuve).
Il date de 20 000 ans, peut-être beaucoup plus selon les légendes.
Son approche festive ne laisse pas indifférent, mais il est surtout important pour la communication qu’il offre avec le monde des esprits.
Le didgeridoo de bois appelle, voire collabore avec l’esprit animal, mais aussi avec d’autres Etres de « l’invisible », porte leurs énergies au cœur des cellules.
L’action de ces Etres est d’une profondeur fabuleuse.
Souvent ils dansent, dansent, dansent dans l’atmosphère.
La voix
Chante-t-on avec les vaisseaux de cristal ?
A l’intérieur d’eux ?
Quelle que soit la réponse, c’est là un exercice très particulier.
Le chanteur doit radicalement abandonner ses critères antérieurs, sous peine de chanter « sur » les vaisseaux, ou « à côté » d’eux.
La voix doit pouvoir devenir elle-même cristal, porteuse de l’intimité de cette vibration.
Le chanteur doit donc s’imprégner de cette vibration au plus profond de sa chair, presque devenir cristal lui-même, l’intérioriser au point que ce soit lui, le cristal, qui ressurgisse à travers la voix.
Le wara
Le wara, lune-étoile en langue maya,
est de conception et fabrication françaises.
Inspiré des percussions de plusieurs traditions, il les mélange judicieusement.
Sa taille, un mètre de diamètre, en fait un instrument d’une profondeur et d’une résonance exceptionnelles.
C’est la connexion à la Terre, la pulsation du cœur de la Terre.
Le gong
Le gong nous fait entrer dans une autre famille d’instruments de percussion : ceux de métal.
Les harmoniques du gong vibrent longuement et se déploient dans l’espace avec insistance. Elles sont d’une richesse, d’une intensité vraiment extraordinaires. Elles nous ouvrent les portes de mondes sensoriels jusqu’alors inconnus, font pétiller chaque cellule avec une intensité foudroyante.
Le hang est un steel-drum très récent,
âgé seulement d’une dizaine d’années.
D’emblée, sa forme de soucoupe volante interpelle et nous invite à débrider totalement notre imaginaire et nos sens.
Ses sonorités, d’une limpidité, d’une délicatesse fabuleuses sont promesses d’invitation des mondes subtils, particulièrement de la part des fées et des elfes.
Et peut-être est-ce le cas…